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16 novembre 2016Paloma Del Mar ...
5.8 sur 6 - 2 votes
1 : Pas du Tout - 2 : Un Peu - 3 : Moyennement - 4 : Beaucoup - 5 : Passionnement - 6 : A La Folie
Librement dans la salle.
Etiqueté par Arnaud :
Quelques secondes d’écoute du fabuleux Loud(y), pendant la présentation du programme de Paloma, auront suffit à nous donner méga envie de découvrir Live les jeunes pousses de Lewis Del Mar. Donc acte.
Danny Miller se révèle effectivement d’un charisme fou. Il occupe l’espace comme un tigre en fureur et sa voix nous emmène loin… très loin même. Max Harwood est le second qui se détache dans le groupe. Même s’il est caché derrière ses drums, il dégage une énergie folle et un plaisir immense d’être là, sur scène. Et, rien qu’à eux deux, ils scotchent carrément toute la salle.
Chaque titre joué ce soir est comme un round de boxe : on s’attend à un direct du droit et c’est un crochet du gauche qui nous soulève. Ok, le prochain c’est donc un gauche … et bien non : Bim c’est un hypercut ! Voilà comment je ressens leur Rock, qui nous sort de nos sentiers battus et nous entraine d’une surprise renversante à une autre. Que c’est bon !
Céline, responsable Com de la salle, nous avait prévenus : cette fois c’est pour Le Club, entre initiés, mais la prochaine fois ce sera à coup sûr dans la Graaaaaaande Salle et à guichet fermé ! Comment ne pas la croire, tant ce duo est hors normes et artistiquement intéressant.
Etiqueté par Ysabel :
Après le quatuor Girl Power des Paper Board Sailors, nous voici passés à présent à du 100% garçons, mais en restant toujours dans le thème Bord de Mer … avec cette fois Lewis Del Mar, qui attaque cash sur du festif Rock à te donner des fourmis dans les pattes. C’est court. C’est brossé. C’est efficace. Avec un débit et un accent qui fait que la seule chose que je vais réussir à capter dans ces paroles sera New-York (leur ville d’origine … donc on est pas mal, on est pas mal 😉 !
Ça enchaine en maintenant le joli paradoxe de cette voix presque soul et de cette musique elle très Rock. Rythmes cassés. Qui te baladent allègrement du lascif, au plus musclé. Avec presque du Tricky par moment dans tout ça (mais de la belle époque hein, entendons-nous bien). En tous cas : quel chanteur ce Danny Miller ! Perso, je suis totalement sous le charme (musical s’entend). Toujours beaucoup de subtilité, surtout dans les détails harmoniques. Une voix décomposée par le truchement des effets de micro. Un chanteur carrément habité. Des rifs hyper mélodiques. Une pointe d’Electro, juste quand il le faut. Une batterie très drum (et habillée d’un drapeau), martelée par un Max au cheveu blond californien en bataille, avec par moment un maracas dans une main et une baguette dans l’autre … Voilà, en résumé, ce que nous offre Lewis Del Mar ce soir.
Commence alors Islands, qui nous fait découvrir qu’en plus d’être un chanteur merveilleux, Danny Miller est un excellent guitariste. Et le voilà même qui nous joue les Jimmy Hendrix à genoux au centre de la scène !
Puis c’est une cover de Rihanna by Lewis Del Mar (savoureusement éclectiques les garçons !). Un Needed Me qui part tout en douceur, pour ensuite éclater tout en muscle. Une très belle maitrise du rythme dont ils usent avec maestria et à laquelle il leur suffit d’ajouter une pincée de World Music pour nous concocter un superbe Painting ! Oui, oui, c’est clair : je suis totalement fan 🙂
Sur la fin du Set, notre chanteur laisse même tomber la guitare pour entamer le petit quart d’heure Bouge Ton Body. Et je peux vous assurer que, là aussi, il y a du niveau ! Et hop, le voilà qui vient se balader au milieu de nous (pour le plus grand plaisir de tous, évidemment) … Et c’te guitare après, mes aïeux ! Et c’te batterie !! Je n’ai qu’un mot qui me vient à l’esprit : La Vache !!! C’est simple, tout le monde se met à sauter dans tous les sens côté public, et ce jusqu’à la dernière, qui fleure bon l’esprit d’Archive à mes oreilles, avec son intro plus que kiffante.
Le rappel sera d’ailleurs complètement dans le même esprit, avec des accélérations fulgurantes qui entrecoupent une Electro toute à la fois musclée et lascive. Paloma est aux anges et le fait savoir par des applaudissements plus que fournis. Ce qui semble beaucoup émouvoir un Danny Miller qui parait tout chose, comme on dit. Et qui tient à nous faire partager sa joie d’avoir la chance de jouer ici, en ce début de carrière. Nous touchant à son tour.
Reste la dernière, avec dissonances à tous les étages. Encore une incroyable performance qui me confirme, s’il en était besoin, mon nouveau statut de méga fan de Lewis Del Mar !!
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