« The Red Rum Orchestra Interzone Extended »
08 mars 2013

Steven Wilson @ Trianon (Paris)

Il nous fallait bien notre dose annuelle de Steven Live !

Réclame d’avant concert

Ecrit le 13 Octobre 2012

Nous venons d’avoir l’info : Steven sera en concert ce 8 Mars 2013 au Trianon à Paris. Que de belles vibrations dans cette salle où nous avions pu voir Steven Wilson en 2012, mais également Blackfield en 2011 !

C’est avec une assurance certaine que nous allons programmer notre montée à la capitale pour cette nouvelle tournée, qui devrait normalement défendre le nouvel album à venir de Steven !

A 3 jours des 35 ans d’Arnaud, voilà un beau cadeau !!!!

Merci Steven !

P.S : Par contre, à quand une tournée Porcupine Tree ? Le groupe semble vraiment à l’arrêt depuis plus d’une année !

Ecrit le 03 Janvier 2013

Ayant reçu l’album avant sa sortie officielle du 25 Février, voici une review !

Conditions de mise en boîte

3 premiers morceaux.

J’ai cru pouvoir faire des choses dans le minuscule espace des crash barrières, mais outre les énormes caissons de basses, il y avait une densité de photographes à crever ! J’ai fais 20 photos pour finir par me rendre compte que j’étais bloqué, sans possibilité de rien faire et qu’il était hors de question de rester là !! Alors je suis sorti comme j’ai pu et j’ai continué de la salle, aidé par mon fidèle tabouret !

Chronique

Etiqueté par Arnaud :

Qu’écrire sur ce concert ? Steven Wilson et son groupe démontre une fois de plus leur maîtrise instrumental sans faille : Dans son domaine, chaque membre est juste énorme.

J’ai une fascination sans faille pour Nick Beggs qui a un jeu hors du commun : Le voir avec son Stick c’est juste hallucinant. Et, pour ne rien gâcher, il a une présence monstrueuse. Enfin, l’ayant vu de loin après le concert en train de signer des autographes, l’homme semble simple, avenant et à la disposition de tous ! Bravo !

Marco Minnemann est, quant à lui, un batteur Jazz tout dans la décontraction. Son jeu semble simple mais hautement diabolique, avec son nombre hors du commun de cymbales et ses drums à ne plus pouvoir les compter ! C’est à ça que je reconnais les batteurs qui techniquement n’ont plus rien à apprendre.

Guthrie Govan m’a laissé une drôle d’impression par contre. Même s’il accompagne parfaitement Steven et à même pris à sa charge certain solo (sur Radioactive Toy par exemple), je l’ai trouvé un peu crispé. Sa dégaine est hors du temps. On pourrait l’envoyer illico dans un film de Zombie, sans maquillage !

Théo Travis est discret et assez caché sur la gauche de la scène, mais chacune de ses interventions est royale, comme à chaque fois.

Adam Halzman est vraiment présent derrière ses claviers, mais l’homme paraît froid et assez distant … Pour avoir tenté une connerie après le concert en le croisant dans le hall, j’ai tellement pris un vent  en retour de ma blague que j’ai été enrhumé pendant 3 jours … L’humour français n’est pas en adéquation avec son humeur 🙂

Enfin, Steven Wilson ben c’est Steven : Il est classe, bourré d’humour, il inonde la scène de sa présence. Quant à son jeu, on le connaît et on vient pour l’écouter, l’admirer !

J’ai particulièrement aimé son introduction de Raider II, morceau que j’appréhende différemment depuis qu’il me dit que c’est l’histoire d’un tueur en série qui s’incruste dans une famille pour mieux la tuer ! Steven regrette qu’il n’y ait pas ce type de serial Killer en France, même si le public a hurlé les noms de « Emile Louis » ou « Francis Heaulme » (mais c’est pas à l’image des US).

Le dernier acteur de ce concert, c’est la lumière et la bande vidéo : Une fois de plus c’est captivant, dérangeant et envoûtant, tout à l’image des albums de Steven Wilson.

Je suis sorti du concert sur mon petit nuage, tout heureux de ces 2 heures de superbes émotions, avec en final cette reprise de Radioactive Toy de Porcupine Tree.

Steven démontre une nouvelle fois qu’il est exceptionnel. Et le public parisien, qui cette fois a frôlé le guichet fermé au Trianon, à sut lui démontrer toute sa passion.

A quand le prochain ?

Etiqueté par Ysabel :

Pas d’accréditation ce soir et un concert en simple spectatrice. Alors une fois n’est pas coutume … La longue chronique sera pour Arnaud et moi, je ne vais que partager mon ressenti (et oui, pas de cahier et pas de note !)

De ce concert me restera, pour commencer, une amusante et nouvelle expérience de vendeuse de programme (et oui 😉 !!), pour donner un coup de main au Staff. Et bien, je peux vous assurer que ce n’est pas si facile et qu’il faut vraiment s’armer de beaucoup de patience et de son plus joli sourire !

Et puis est venue ensuite l’attente et l’impatience d’entendre les premières notes. Pas de rideau blanc devant la scène cette fois-ci (même s’il viendra un peu plus tard) et donc le plaisir de tout de suite les voir, à la fois si discrets et si investis. Ce fût intense, parfois violent et surtout empli d’émotions de toutes sortes. J’ai frémi. J’ai souri. J’ai frissonné. J’ai crié de plaisir. Et j’ai même senti des larmes monter lorsque sont passées les images de The Raven That Refused to Sing.

Une très belle soirée d’images, de lumières et surtout de musique. Cette musique que seul Steven Wilson sait faire … Un artiste à part que je pourrais voir et revoir sans jamais me lasser, parce qu’à chaque fois c’est encore plus de plaisir partagé.

Composition

  1. Luminol
  2. Drive Home
  3. The Pin Drop
  4. Postcard
  5. The Holy Drinker
  6. Deform to Form a Star
  7. The Watchmaker
  8. Index
  9. Insurgentes
  10. Harmony Korine
  11. No Part of Me
  12. Raider II
  13. The Raven That Refused to Sing
  14. 1er Rappel : Radioactive Toy (Porcupine Tree)

Date Limite de Consommation

Site de Production

Site officiel : http://www.swhq.co.uk/

Ingrédients

Remerciements