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02 décembre 2015Deux Garçons, Quatre Alibis !
4.0 sur 6 - 2 votes
1 : Pas du Tout - 2 : Un Peu - 3 : Moyennement - 4 : Beaucoup - 5 : Passionnement - 6 : A La Folie
Librement, dans les crashs barrières. Mais avec très peu de lumière, il faut le préciser 😉
Etiqueté par Arnaud :
Deux petits gars montent sur scène, dans un noir quasi complet. Et, la soirée étant sous le thème du Folk, nous ne sommes pas étonnés de ne voir que deux guitares comme instruments.
Pourtant, il y aura une vraie surprise lors du début du chant de Olly Jenkins, avec son timbre de voix d’une clarté presque céleste. C’est même tellement pur, que c’en est beau comme un diamant.
Mais Olly vit aussi sa musique avec son corps. Ça se ressent sur son visage : nous ne sommes pas face à un pantin d’une quelconque radio crochet, mais face à un véritable artiste qui, chaque soir, met ses tripes sur scène.
La présence du leader nous ferait d’ailleurs presque oublier qu’il est accompagné de John Owens ! Qui, s’il est beaucoup plus discret et comme effacé, sait cependant parfaitement accompagner son ami. Et, lui aussi a l’art de capter la lumière pour nous renvoyer une belle image.
Voilà, je suis sur un nuage… Mais c’est déjà la fin ! J’aurai voulu que ça dure encore et encore… Tant pis.
Etiqueté par Ysabel :
Au Paloma : 8h20 c’est 8h20 !! Une mise en place un peu longue et dans le noir … Puis une voix d’ange qui s’élève … C’est ainsi que commence le Set de Olly Jenkins, qui va assurer la première-première partie de Lou Doillon ce soir.
C’est un duo de garçons, guitare électrique et guitare sèche. Très peu de lumière. Une caisse de drum frappée du pied. Et oui, cela se confirme sur l’envolée du premier refrain : la voix du chanteur est bien digne de celle d’un ange, aidée en cela par un joli effet d’écho.
Petit accent gallois à la présentation, et voilà Olly Jenkins qui pose sa guitare pour nous offrir à nouveau sa voix comme une caresse dans la brise d’Alibi, balade Folk qui va pourtant se muscler au son des riffs électriques de John Owens, son compagnon de jeu d’origine irlandaise. Ils nous proposent ainsi un univers assez poétique et musicalement hyper épuré, ce qui au demeurant va très bien ensemble. Par contre, il faut le reconnaitre : ils ne nous gratifient d’aucun visuel. Alors fermons les yeux et laissons nous embarquer … Ce qui n’est vraiment pas compliqué.
Ça monte en puissance, mais toujours dans l’harmonie. Les lumières balayant le public. Les cordes des guitares sont rippées de plus en plus vite, de plus en plus fort, avec du coup la douce musique qui se noircie légèrement … j’aime vraiment beaucoup ce que nous font partager ces deux là.
Ajout de sons pour Sciamachy et la voix se fait instrument, toute en vibrations et en effets. Avec encore une de ces petites musiques étranges, qui passe du léger au mystérieux en un battement de cil, à la manière d’un EZ3kiel.
Dernier morceau et remerciements super touchants de nos deux anglo-saxons, montpelliérains d’adoption, et puis retour vers le côté balade de Try Too Hard. Comme une jolie boucle de bouclée. Mais qui, encore une fois, n’oublie pas de se rockifier passée le milieu. A revoir et surtout à réécouter, sans aucune hésitation.
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