concerts en boîte

12 février 2014

Et pourtant nous voulions être sur Son Chemin...

Evaluation de la Soirée

3.0 sur 6 - 2 votes

1 : Pas du Tout - 2 : Un Peu - 3 : Moyennement - 4 : Beaucoup - 5 : Passionnement - 6 : A La Folie

Conditions de mise en boîte

Les trois premiers titres. L’introduction du concert étant instrumentale et sans la présence d’Emmanuel, j’ai discuté avec la sécurité pour pouvoir faire les trois premiers morceaux chantés par Emmanuel. Ma requête a été entendue et c’est tant mieux :).

Chronique

Etiqueté par Arnaud :

Avant de rentrer dans la chronique, je me dois de vous expliquer le contexte et l’histoire nous reliant à Emmanuel.

Tout commence début 2012, quand Ysabel m’annonce qu’elle souhaite à tout prix voir Cabaret parce que, je cite : « Il y a Emmanuel Moire, putain c’est une bombe, je veux le voir sur scène ! ». Moi, toujours gentil ( 🙂 ), j’accepte et nous voilà le 15 Février 2012 au Dôme. Un peu fleur au fusil, je me prépare pour ma session photo, sans trop me poser de questions : Ça défile assez vite, je fixe quelques beaux tableaux et me voilà de retour à ma place pour simplement regarder le concert. Bizarrement, j’ai pas l’impression d’avoir photographié Emmanuel Moire. Je suis déçu et j’en fait part à Ysabel qui éclate de rire.. « Ben oui, grand idiot, regardes le maître de cérémonie qui est au milieu depuis le début, là oui regarde : et bien c’est Manuuuuu et il est trop beau !! » (J’exagère la réaction d’Ysabel, c’est mon côté romanesque). Je passe donc pour un idiot, mais fort heureusement il est plus que mis en valeur par mes photos, moi qui croyais ne pas l’avoir eu… Ouf… Je passe pour un grand dadet, mais pas un fieffé imbécile.

Voilà ma première rencontre avec cet homme à part, qui dès le départ m’a marqué, tant il rayonnait dans cette comédie musicale.

Ma seconde rencontre sera partagée par des millions de personne et ce sera pendant Danse avec les Stars. Nous avons regardé cette émission uniquement pour lui et nous n’avons pas été déçus. Rien qu’à en parler, je suis encore ému de sa prestation sur Sois Tranquille. Et, outre la danse, je voulais savoir s’il allait sentimentalement craquer dans les bras de Fauve (ça c’est mon côté ethéro, convaincu que tout homme craque un jour pour une femme). On ne le saura jamais, mais je suis convaincu qu’il est loin d’être indifférent à cette beauté tout particulière et pleine de grâce !

Ce soir au Silo, c’était l’occasion de découvrir Emmanuel dans son propre univers. J’ai écouté L’Equilibre, que j’avais acheté il y a quelques semaines, et il y avait des textes touchants et des rythmes pas désagréables (sans non plus qu’il y ait la complexité d’un Steven Wilson, ne nous voilons pas la face). Je crois sincèrement que c’est cette profonde envie de le voir qui nous a fait soulever des montagnes et persévérer  pour l’accréditation, malgré un premier refus ! Non, nous ne pouvions pas ne pas le voir et juger sur pieds de la qualité évidente de cet artiste. Nous avons eu un accord la veille, dans le plus grand des étonnements. Rien n’allait donc plus nous empêcher d’y être et de faire ce que l’on aime : Reporter notre vision du concert, avec nos mots et nos photos.

Cette longue introduction faite, il est donc temps maintenant de parler du concert en lui même. Pour être franc et direct, j’ai été déçu. Et je vais tenter de vous expliquer mon avis.

Le concert est parti sur de TRES bonnes bases. Si on laisse un peu de côté l’introduction instrumentale à mon goût un poil trop longue, l’entrée en scène d’Emmanuel est sublime et si théâtrale. Ce jeu des ombres fut magnifique et sa mise en lumière au deux tiers du morceaux une explosion de joie de la foule. C’est parfait et beau … Et ça colle parfaitement au morceau.

La suite sera du même niveau. La Blessure est dans les textes mais aussi sur scène : Le sarthois souffre et ça se voit. Magnifique et poignant.

Puis, c’est là que le concert a pris un train train sans grand intérêt : Plus de jeu de scène, si ce n’est une lumière un peu travaillée et un Emmanuel qui ne cherche pas à emmener son public dans son monde. Non. Ensuite, il passe les titres les uns après les autres et, de toute façon, la salle est conquise. C’est alors que je me rends compte que le décor est tout simplement inexistant !! Purée !! Même pas un p’tit truc qui témoigne de l’album défendu ou de l’univers de l’artiste… A moins que ce soit le chemin blanc, tout vilain, qui soit un écho à l’album… Ben si c’est le cas, fallait avoir une idée moins criarde et inesthétique. J’ai l’impression de revivre un concert de Lilly Wood and The Prick,  où j’avais eu la même impression d’un concert peu travaillé et inégal, par rapport à un album studio plus que fabuleux.

Je dois donc avouer qu’ensuite, j’ai un peu subi le concert, attendant le moment où ce bel homme allait m’emmener sur SON chemin. Il a fallu attendre Sois Tranquille, où un silence religieux s’est installé dès la bougie allumée. C’était alors évident et émouvant, sans non plus en faire des tonnes, ce qui n’était pas nécessaire ; les bougies en fond d’écran rajoutaient juste ce qu’il fallait. Voilà que je retrouvais l’artiste que j’étais venu découvrir et voilà qu’il m’emmenait loin du Silo. J’en suis sorti bouleversé et impatient de la suite. Beau Malheur arrivera sans mal à continuer cette route, la voix émue du chanteur participant pleinement à l’émotion et à la tension Live du morceau.

Mais hélas, le voyage s’arrête là et Emmanuel repart dans la simplicité et l’évidence dès la chanson suivante, probablement aidé par ce public acquis qui n’a pas besoin d’être pris par la main. Les titres sont beaux, la voix pénétrantes et les textes intéressants, mais j’ai perdu la magie.

Ces moments à part reviendront pour les rappels même si là, c’est au public à qui j’en veux. Leurs cris puérils et débiles pendant Le Chemin gâcheront un peu de mon émotion et de ce moment d’intimité d’Emmanuel, seul à la guitare avec nous. Et je suis sorti de la salle avec ce mauvais souvenir de la fin où, hélas, Emmanuel n’y pouvait rien, lui qui demandait au contraire du calme.

Voilà pourquoi je ne peux pas mieux noter ce concert et ni l’avoir pleinement aimé. Emmanuel est attachant, passionnant, attirant et ses chansons tout autant. L’ajout des cordes est la meilleure des idées également. Mais hélas, ça pêche par trop de raccourcis et d’évidences. C’est d’autant plus étonnant qu’Emmanuel a connu deux comédies musicales, où il a vu la puissance de la mise en scène, capable de tenir un public en haleine.

Emmanuel, continues : tu as tout pour me faire fondre mais, de grâce, ne choisis pas la facilité. Je suis de ceux qui aiment les concerts bien construits, avec un fil conducteur quasi invisible mais évident, aidé par une mise en scène et un décors solides (bien que si besoin discrets). Il ne manque probablement pas grand chose pour atteindre ce nirvana et, en plus, ça forcera ton public à se taire pendant les silences, ce qui ne sera pas toujours un mal.

Etiqueté par Ysabel :

Le trio de Sirius Plan parti, le public commence à s’impatienter et à crier. Le moindre mouvement sur scène déclenche une semi hystérie. Mais la patience des fans va vite être récompensée … Piano, violons, violoncelle … Un fond sourd de batterie et les premières notes commencent sur des hurlements de plaisir !

Très longue intro sous forme de medley, les lumières encore légèrement présentes dans la salle, et déjà beaucoup chantent les paroles des morceaux qu’ils ont tout de suite reconnu. Les mains frappent … Sacré suspens ! On entend sa voix monter des coulisses et un gros logo EM en 3D (franchement pas joliment animé) apparait sur l’écran de fond. Vraiment un peu long comme amorce. La musique devient un tantinet plus Electro et puis il apparait enfin. Hyper théâtrale comme entrée … Un peu too much même. Non ?!? Mais bon, il est enfin là. On le devine à contre jour, plus qu’on ne le voit et il ne bouge pas d’un cheveu.

La Vie Ailleurs commence et c’est méga froid. Un drôle de parti pris selon moi. Mais vient l’effet programmé sur « l’étincelle » qui l’allume, comme elle allume la salle. Bon, c’est une mise en scène comme une autre. Les dix premiers rangs sont debout, à crier, et semble l’apprécier (comme le reste de la salle d’ailleurs). Ce doit être moi. Il est vrai que je trouve toujours que la simplicité est le meilleur des habillages et la plus grande des qualités. Mais laissons faire. Une chose est sûre et certaine : il est beau, très beau même et avec un sourire à tomber en plus … Donc je vais essayer de ne plus penser à cette entrée grandiloquente et me laisser porter par la suite de ce set.

Avant de continuer, il tient à nous remercier et fait aussi allusion à Danse avec les Stars. Il est vrai qu’avec cette émission de « Danse Crochet », il est un peu entré dans nos maisons et nos familles. Merci donc à nous de l’avoir encouragé et soutenu. Forcément, c’est une hystérie féminine qui lui répond … C’est ce que je craignais. Jamais fan du public acquis, dont on ne sait pas s’il aime vraiment ce qui se passe à l’instant T, ou bien si tout lui plaira par définition, quelqu’en soit la qualité. Je pense qu’on peut aimer l’homme, être touché par l’artiste (ce qui est tout à fait mon cas), sans pour autant ne pas rester objectif face à sa prestation d’un soir … Qui ne remet en rien son talent en cause.

Il part s’assoir sur le côté du piano, comme à la recherche d’un endroit pour se blottir. Commence La Blessure. La musique est un chouilla trop forte pour sa voix, par moment. Dommage. Lui joue très bien ses textes, semblant chercher refuge contre son piano, presque recroquevillé, toujours dans la pénombre, juste le visage à peine éclairé.

Je ne connais pas très bien son répertoire et j’apprécie de le découvrir. Des textes écrits avec beaucoup de finesse, je trouve, et fait de jeux à demi mots très plaisants. De belles mélodies. Il esquisse quelques pas de danse, tout sourire. C’est doux et chaleureux. Il rit quand une grosse voix reprend son prénom au milieu des cris des filles. Puis il prend place derrière le piano blanc. Ils sont juste tous les deux et c’est finalement bien plus plaisant que la grosse artillerie. Là, on profite vraiment de sa voix, avec cette intonation touchante, qui se casse légèrement sur ses fins de phrases.

Après chaque morceau, se sont des cris et encore des cris. Batterie, guitare et basse reviennent. On est reparti dans le Rock (on va dire …) et c’est comme si toute l’émotion repartait. Ce n’est pas du tout déplaisant, mais je suis étonnée qu’il y ait si peu d’âme avec un tel artiste. Comme si son côté à fleur de peau s’évaporait quand la musique s’affirme un peu plus. Vraiment dommage. Ceci étant, c’est une belle démonstration vocale, mais perso, ça ne me branche pas plus que ça (je n’ai jamais aimé les chanteurs dits à voix).

La veste tombe et c’est évidemment des hurlements dans la salle. Il répond avec humour : « Calme toi … Marseille, c’est un animal en fait ! » Puis cela plaisante sur le fameux gilet que ces demoiselles de Sirius Plan ont évoqué. « Il ne faut jamais croire les filles ! » Puis il cherche un peu le public, en mettant en doute que ce ne soit le meilleur, sachant que Lyon n’a pas été mal du tout la veille. Bien sûr : Il cherche, il trouve 😉 Puis il propose un petit flashback de ses chansons d’avant.

Le public ravi reprend avec lui Etre A La Hauteur et, encore une fois, je trouve beaucoup plus plaisant cette formation de type acoustique. Ça enchaîne vite. Il est toujours là, entouré de ses musiciens, en toute simplicité. Puis allume une bougie qu’il pose sur le piano. Prends place devant le clavier et on murmure autour de moi : « C’est la chanson pour son frère … » Sois Tranquille commence. Les cordes sont rejointes pas la guitare et la basse. Je trouve, comme c’est le cas depuis le début de ce concert, que ce côté intimiste, c’est beaucoup plus son univers. On ne voit pas grand chose, mais on se laisse plus facilement porter. Avec l’émotion qui touche et qui fait mouche, forcément. Et avec une clappe qui dure encore et encore à la fin, accompagnée de pieds qui frappent le sol.

Petit raté au démarrage de Beau Malheur. Mais pas grave, on reprend. Le public se lève et s’approche mais, encore une fois, je suis surprise par ce jeu de scène hyper minimaliste. Il nous fait un clip visuellement juste magnifique et là : Presque rien. Mais comme le public est acquis, alors tout va bien. Ça fonctionne quand même. Et je reste déçue. Il est touchant et fait partie de ces personnes qui font presque parti de la famille. On a l’impression qu’on le connait et son capital sympathie est énorme. Comme si on ne pouvait rien contre lui. Mais alors pourquoi se contenter de ça ? Pourquoi une mise en scène quasi inexistante ? Pourquoi des lumières fadasses ? Pourquoi si peu de magie ?? Je m’attendais à rêver, à être emportée et je me retrouve devant un artiste qui fait son job, juste proprement.

Il a pourtant droit à une standing ovation de ce public qui l’aime tant. La scène s’habille de rouge et prend un peu plus de vie. Ça c’est plutôt plaisant. Et, lorsqu’il décide de monter dans la salle, on frôle l’émeute. Mais ce n’est qu’un début, puisqu’il tombe le gilet à présent. Répond aux hurlement par un « Tout va bien ! » (ces réactions type teen-agers aux hormones bouillonnantes l’agacent-elles ?!) et se retrouve en chemise et bretelles bleu nuit (assorties à ces superbes chaussures, s’il vous plait … Un homme de goût cet Emmanuel !)

En tous cas, cela s’est clairement animé sur scène et ce sera ambiance Techno Dance pour Adulte Et Sexy ! On va d’ailleurs rester jusqu’à la fin su Set dans son répertoire de chansons populaires, avec musique très dansante. Du Christophe Willem quelque part. Il quitte la scène sur un « Merci » et surtout un « Je t’aime » dans ses paroles, qui en mettent plus d’une au bord du malaise. Mais aussi avec notre magnifique logo du début (je me moque, mais sincèrement, il est tout moche et super ringard dans sa version 3D), qui devient : Le CHEMIN.

Rappel sur fond de chansons de stade (et bien oui, on est à Marseille que diable!) Il flatte notre belle ville phocéenne et rappelle les filles de Sirius Plan pour la suivante. Ils papotent ensemble sur ce très bon public qu’ils ont ce soir. Puis vient la musique. Juste une guitare (celle d’Elodie). Lui assis sur un tabouret haut, une fille de chaque côté. Ce doit être un moment emplie de poésie, mais c’est sans compter une petite troupe au centre de la salle qui fait sa vie et son spectacle off. Ok. Sympa. Mais il faut savoir que ce genre de délire ne fait en général rire que ceux qui y participent ! Alors que sur scène, avec le trio des filles, je dois dire que c’est vraiment hyper sympa ce qu’ils nous font.

Marseille et ses airs de stade, hélas … Comment y échapper ! Il profite de la dissipation générale pour nous présenter tout le monde. Les musiciens, bien sûr, dont Eric (le batteur) qui a des amis dans la salle, mais aussi Manu et Yohan au son, Romain à la lumière, Franck et Christophe à la table et enfin Rémi pour l’organisation. Puis il reprends ces rappels avec Quatre Vies. J’aime définitivement mieux ces ambiances simples et calmes, pour moi, elles lui correspondent tellement mieux.

Un Set décousu et auquel il est difficile de trouver une unité, sinon Emmanuel Moire lui-même … Mais est-ce suffisant ? Des chansons qui peuvent avoir un univers, indépendamment les unes des autres, mais pas dans leur globalité. Un drôle de sentiment de bazar et d’inachevé.

Ils s’attrapent par le cou pour saluer encore une fois. Puis Emmanuel prend une guitare, mais ne parvient même pas à continuer, tant c’est le bordel dans la salle. « Oh Marseille, tu es indisciplinée. Je suis partagé entre l’amour que j’ai pour toi et la peur que j’ai de toi ! » Il s’amuse, mais demande tout de même fermement le calme pour cette « inédite » toute en douceur, que l’on ne parvient même plus à entendre (chacun voulant faire son malin et y aller de son bon mot). Nous parvenons tout de même à entendre Le Chemin, en acoustique guitare/voix. Très joli morceau. Et puis, c’est le moment des cadeaux, avec ses derniers mots à propos du challenge du meilleur public : « Une bonne nouvelle : Vous avez gagné, c’est évident ! »

Composition

  1. Intro medley Instrumental (Je fais de toi mon essentiel, Etre à la hauteur, Le Sourire & Sans dire un mot )
  2. La Vie Ailleurs
  3. La Blessure
  4. Suffit Mon Amour
  5. Venir Voir
  6. L’adversaire
  7. L’attraction
  8. Etre A La Hauteur
  9. Le Sourire
  10. Sans Dire Un Mot
  11. Sois Tranquille
  12. Beau Malheur
  13. Ici Ailleurs
  14. Adulte Et Sexy
  15. Ne S’aimer Que La Nuit
  16. 1er Rappel : Promis (avec Sirius Plan)
  17. Quatre Vies
  18. Le Chemin

Date Limite de Consommation

  • Ce concert s’inscrit dans la tournée Sur le Chemin.
  • Album défendu : Le Chemin

Site de Production

Page Officiel : http://emmanuelmoire.com

Ingrédient

  • Emmanuel Moire : Chant, Piano & Guitare (sur Le Chemin)
  • Eric Langlois : Batterie
  • Frédéric Adrignola : Clavier & Piano
  • Mao Blanc : Guitare
  • Mathieu Llopart : Basse
  • Julien : Alto
  • Clara : Violon
  • Catherine : Violoncelle

Remerciements

  • Mélinda @ Thierry Suc Prodution
  • Florence @ Adam Concerts

Appellations d'Origine Contrôlée

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  • rajoute :
    à 13 h 59 min

    Cher émmanuel, je suis ravie d'avoir pu obtenir quelques photos. Je vos adore, vous chantez super bien avec une douceur dans votre voix, quel bonheur de vous entendre.

  • rajoute :
    à 14 h 02 min

    J'ai oublié de vous dire chapeau non seulement vous chantez bien mais quel danseur très beau duo avec Fauve.

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